Bovins de boucherie Marché à l’équilibre
Le marché est globalement à l’équilibre, mais il est plus difficile de vendre une bonne bête qu’un animal standard.
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Les tarifs des femelles de qualité bouchère sont stables. Les vaches blondes d’Aquitaine U de plus 480 kg sont valorisées de 4,40 à 4,80 € à Cholet. Les meilleures atteignent 5 €. Ces tarifs sont également ceux pratiqués pour les bonnes génisses U à Saint-Christophe-en-Brionnais.
Le commerce est plus régulier que ces dernières semaines pour les charolaises R. Un léger mieux est à noter à Cholet, avec des vaches R= commercialisées autour de 3,80 €/kg net. Même constat à Saint-Christophe où les vaches R= se valorisent 3,84 €. Cette tendance profite également aux bonnes vaches R+/U– lourdes qui se commercialisent entre 3,90 et 3,96 €.
Peu de changement observé du côté des limousines, des aubracs et des salers, même s’il y a de gros écarts de valorisation entre les animaux viandés et finis et ceux en manque de poids, peu finis ou trop âgés.
En laitières les prix sont stables. Les prim’holsteins P+/O– lourdes se vendent entre 2,90 et 2,95 €. Elles atteignent 3 € dans certains abattoirs. Le gros des ventes se situe entre 2,75 et 2,85 € pour les vaches convenables et de 2,30 à 2,50 € pour celles en manque de poids et de finition.
Les normandes et les montbéliardes se maintiennent entre 3,05 et 3,30 € dans les O convenables. Les bonnes atteignent 3,35 € dans les bonnes. Ces tarifs montent jusqu’à 3,40 € dans les régions à faible densité laitière.
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